Dans la préface du Dictionnaire Philosophique (1764), Voltaire écrit : « Nous avons tâché de joindre l’agréable à l’utile, n’ayant d’autre part à cet ouvrage que le choix. Les personnes de tout état trouveront de quoi s’instruire en s’amusant. » Ces principes s’appliquent-ils aux essais, aux fables et aux contes philosophiques ?

Intro : Selon le Dictionnaire Philosophique (1764), Voltaire dit que nous avons réussi de lier l’agréable à l’utile. Il dit aussi que cela concernent tout le monde ; cela veut dire toutes les personnes. Il y a des diverses œuvres comme des fables, des essais et des contes dont le lecteur s’instruit et s’amuse. Micromégas, Le Monde comme il va, Zadig etc... Tous délivrent une morale. Mais de quoi le spectateur a-t-il besoin ? Peut-on s’instruire sans se divertir ? Peut-on se divertir sans s’instruire ? Peut-on s’instruire et se faire plaisir en même-temps ? Quel est le but de l’auteur ? Comment l’auteur fait-il cela ? (instruire en divertissant) Nous allons analyser quelques exemples d’œuvres et d’essais dont l’auteur va instruire en divertissant le lecteur. Si le spectateur est attrapé par une histoire intéressante, cela veut dire qu’il se divertit en apprenant. Si le besoin du spectateur est celui de s’instruire, cela signifie qu’il s’amuse quand il apprend tout ce que l’auteur veut renseigner.

Plan : 1) Ecrire pour instruire 1.1) L’auteur cherche d’apprendre « une leçon de vie » par des contes et d’autres œuvres littéraires. Par exemple les essais de Descartes. 2) Ecrire pour divertir 2.1) L’auteur veut amuser par des divers anecdotes comme ceux de Jean de la Fontaine. 3) Ecrire pour instruire en amusant 3.1) L’auteur essaie d’instruire en divertissant le lecteur, comme : Zadig, Micromégas et Le Monde comme il va de Voltaire.

Conclusion : Le littérateur a pour fonction d’émouvoir et de renseigner, très souvent en manière de divertir par des fables, ou d’attraper l’attention par ses divers contes. Cependant, certaines fois il