«Ma chambre, façon Balzac.»
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Au 11ème étage d’un immeuble usé par l’âge, à peine sortis de l’ascenseur se dresse une porte peinte de beige, elle donne de la vie à ce couloir dépourvu d’air. En ouvrant la porte nos pieds tâtent un tapis à motif aztèque encré de 1000 et 1 pas, il est vieilli par le temps. On voit aussi un miroir accroche au mur, reflétant notre image quel que soit notre âge. En face ce trouve un porte manteau, sur lequel pendent toute les vestes de la famille, en continuant on fait face à un salon illuminé de fenêtres qui donnent sur une cité où jonche à la fois arbres et plantes de toutes sortes. A notre droite se dresse un couloir étroit, décoré de 3 tableaux essayant de ravivé la torpeur de ces murs blanchâtres. Au fond du couloir, on trouve une pièce restreinte à peine plus profonde, au milieu de laquelle se trouve un grand bureau en rotin blanc sur lequel est harmonieusement déposé : livres, bibelots, ordinateurs et toutes sortes de choses qui ont une utilité bien définis. Le mur est orné d’un joli papier vert anglais, sur lequel tous les trente centimètres on pouvait voir, tombant de sa lisière, des coulées de petites plantes de différentes espèces. Le sol était recouvert d’un grand tapis turc qui donne un coté oriental, auquel des doubles rideaux étaient assortis .Un écran télévisé dernier cris, à peine plus grand que la commode en bois noir juxtaposé a un grand lit orné de draps Disney ,donnait un aspect jeune et à la mode de la chambre. Les couleurs clairs créait une sensation d’espace dans cette pièce qu’on aurait pu juger trop petite a vu d’œil, elles valorisent aussi la lumière qui s’échappent des fenêtres fatiguées de leurs usages. Cette chambre un peu vide de meuble mais étroite de place, crée une atmosphère intime et chaleureuse qui permet l’épanouissement d’un adolescent en pleine