Lycée shoelsher
b) La lettre est adressée à sa fille, Mme de Grignan qui se trouve en Provence.
c) Mme de Sévigné réagit à la traversée dangereuse de sa fille sous un mauvais temps.
d) Le thème de cette lettre est l’inquiétude que porte la mère à sa fille.
e) On peut deviner qu’il y a eu une traversée en barque sous un orage (ligne 7), et que sa fille n’a apparemment pas eu peur.
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a) – Les procédés d’écritures employés par Madame de Sévigné sont :
Le champ lexical de la peur : effrayé (ligne 3) , frémir ( ligne4) , horreur (ligne 5 ) , peur (ligne 9) , peur (ligne 12 ) , miracle (ligne 14 ) , frisonne (ligne 16) , sursauts (ligne 16), effrayé (ligne 18) , miracle ( ligne 25) Le champ lexical du danger : péril ( ligne 3) , fin ( ligne 4) , exposer ( ligne 7) , souffrirait (ligne 9) , brisée (ligne 15) , noyée ( ligne 15) , mort (ligne 18) , péril ( ligne 19) , inévitable ( ligne 19) , hasardeuse ( ligne 20), aventure (ligne 20) , dangers ( ligne 21).
Les phrases exclamatives (pour exprimer sa peur) et les phrases interrogatives (pour exprimer son mécontentement).
Le présent de narration dans les lignes 5-8. (Comme si la scène se déroulait sous ses yeux). 3-
C’était en début d’après-midi, je me promenais au bord du Rhône lorsqu’une tempête éclata. Je commençai à courir lorsque je vis à ma droite un jeune couple traversant le fleuve en barque. Je fus étonné de voir une barque sur le Rhône alors que le temps n’était pas propice à une promenade et que le fleuve était agité. Le vent était tellement puissant que mon chapeau s’envola et retomba sur ce fleuve en crue. La barque était ballottée dans tous les sens sous l’effet de ce vent d’une agitation immense. Je me demandais si la barque allait arriver à bon port, puis un coup de tonnerre résonna. Tandis qu’un éclair fit briller la barque devant mes yeux affolés, elle arriva tout de même à s’approcher du rivage et je