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622 mots 3 pages
La formation scolaire ne fait qu'écarter les jeunes de la politique. Elle est bannie de l'école au pretexte, fallacieux, de la subjectivité des enseignants vis-à-vis des courants actuels. Fallacieux, car arborer ce prétexte revient à nier le coté politique des matières telles que l'histoire, l'économie, la gestion, etc. Dans cette institution tout avis, toute idée, pouvant avoir une connotation politique est qualifiée d'ostantatoire quand ce n'est pas de subversive (insulte suprème des conservateurs de tous genres, qualificatifs adorés des gauchistes de tous bords).
Ne pourrait-on pas envisager des cours de politique dont le contenu pourrait être une histoire des partis mélée à la présentation des contextes socio-historique de celles-ci. Cours qui permettrait de comprendre la liaison entre le présent et le passé, qui facileterait pour les jeunes générations des prises de positions claires et construites dans le futur ? Peut être un outil pour arrêter l'alternance gauche droite de ces 20 dernières années, peut être un outil pour que la politique ne soit plus qu'exercice de communication mais engagement et sacerdoce pour ceux qui s'y engagent... Modifier la perception qu'auront les citoyens de la politique en modifiera à terme le contenu. Cette présentation politique de la société pourrait aussi être un moyen de faire emmerger un tant soit peu de contreverse dans la vie quotidienne des établissements, controverse base du dialogue, de la prise de position, de la réflexion, de l'engagement : du citoyennat (néologisme, mais l'on ne peut parler de citoyenneté pour des mineurs, puisqu'est citoyen celui qui est majeur). Si cela remet en cause toute une vision de l'enseignement, si les élèves se mettent à penser ce sont les enseignants qui en feront en premier les frais, cela me semble être utile à moyen et long terme si l'on veut que nos futurs concitoyens arrêtent d'offrir des minutes de leur cervaux disponibles à quelques grands communiquants : qu'ils soient

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