En premier lieu, il ressort clairement du texte Il était une fois que Fred Pellerin éprouve de la nostalgie envers le passé. D’une part, il exprime la fierté de son passé en nous ramenant dans une époque où il faisait bon de vivre. Effectivement, il met l’accent sur l’importance des traditions orales et écrites : « C’était des dires / C’était des contes / C’était des histoires à rester debout ». Dans ce passage, l’effet d’amplification montre que ces dires et contes n’étaient pas simplement des banalités comme ils peuvent le paraître aujourd’hui. De plus, la répétition du groupe de mot «c’était» vient appuyer l’importance fondamentale de la fierté qu’il a envers ces traditions d’autrefois. On comprend donc que la littérature d’hier avait un impact beaucoup plus important que celle d’aujourd’hui. Ensuite, il exprime également sa fierté en démontrant qu’avec peu, il a été possible d’aller loin. «Les chemins étaient pas longs / Mais ça s’ouvrait sur du vaste». Cette citation découle d’une antithèse, malgré que le peuple québécois n’avait rien, il a pu bâtir de grandes choses. D’une autre part, Fred Pellerin fait ressentir l’espoir qu’on avait dans le passé. « Pour un bateau qui était pas là / Mais qui voguait dans les espérances». Autrefois, le peuple canadien-français était très peu instruit. Les traditions orales étaient sa seule forme d’héritage. Ce peuple, avait beaucoup d’ambition, mais aucun élément ne leur permettait de concrétiser leurs idées. Dans cette métaphore, le bateau représente l’élément permettant de donner vie à leurs espérances. Par la suite, l’auteur cite comme suit : «C’était une fois […] C’était juste un entrebâillage / Sur des demains qui se pouvaient encore». Il est évident dans cette citation que l’espoir n’est pas mort. L’entrebâillage est interprété comme un aperçu de ce que les Canadiens-français étaient encore capable de faire. Bref, à partir la nostalgie de l’auteur, il est juste de penser que le passé est une source favorable afin