La dissertation L’extensialisme refléter dans L’Étranger d’Albert Camus Par : Emily UttleyRemis à : Mme Nacima ZerouatiDans le cadre du cours FLO 4ULundi le 27 février 2023École secondaire de Lamothe-Cadillac Au XIXe siècle un nouveau courant philosophique est apparu dans notre monde, l’extensialisme. Il a été développer par Søren Kierkegaard, un philosophe danois. L’extensialisme est un mouvement philosophique qui étudie l’existence humaine …afficher plus de contenu…

En 1942, auteur français Albert Camus a publié son livre L’Étranger . Son personnage principal, Meursault, est un parfait exemple d’un héros existentialiste, car il ne ressent pas d’émotions, il est en quête de son identité et il démontre que la vie n’a aucune valeur. Pour commencer, Meursault est un exemple parfait d’un héros extensialiste, car il ne démontre et ne ressent aucune émotion à travers le livre. Le livre commence avec Meursault qui reçoit un télégramme de l’asile pour lui annoncé le décès de sa mère. Meursault est laissé indifférent par cet événement et commence sa narration avec : «Aujourd’hui maman est morte. Ou peut-être hier, je ne sais pas.» [footnoteRef:1]Meursault est tellement déconnecté du monde il ne sais plus c’est quand que sa mère est décédée et il est plus inquiet de …afficher plus de contenu…

Avant le meurtre de l’Arabe, Meursault n’a jamais pris le temps de se chercher comme qu’il voyait que la vie n’avait aucune valeur. Sa vie se répétait de la même manière à chaque jour. Il se levait, il fumait, il se préparait pour le travail, il allait travailler, il revenait du travail et il voyait son voisin le vieux Salamano qui marchait son chien. De temps en temps, il voyait son autre voisin Raymond et parfois Marie venait lui rendre visite. La mort de sa mère lui a déstabiliser et se manque d’équilibre à causer Meursault à tuer l’Arabe. Lors de son procès, les deux côtés de la justice ont peint les deux images suivantes de Meursault : «Même sur un banc d’accusé, il est toujours intéressant d’entendre parler de soi. Pendant les plaidoiries du procureur et de mon avocat, je peux dire qu’on a beaucoup parlé de moi et peut-être plus de moi que de mon crime. Étaient-elles