Lettre de voltaire
Et je n’ai pas hésiter à m’engager dans la défense de personne telle que Jean Calas, injustement condamné à mort et dont je suis parvenu à réhabiliter le nom et l’honneur. Enfin de compte, après avoir consacré ma vie à la diffusion de mes idées à travers mes écrits, mes discours et mes actions, et à avoir travaillé sans relâche pour construire un monde plus juste et plus éclairé. Je suis décédé en 1778 à 84 ans, mais mon engagement et ma contribution en faveur de la liberté de pensée, d’expression et de la justice a eu un impact durable sur la société française et …afficher plus de contenu…
Du moins, il limitait très fortement sa consommation et se souciait du bien-être animal dans une période où les populations se montrent de plus en plus indifférentes à leurs souffrances. Certains diront que son régime alimentaire est dû à ses nombreux problèmes de santé ou encore aux nombres de dents limité qui lui restaient. Lui, il justifiait le végétarisme comme une « admirable loi par laquelle il est défendu de manger les animaux, nos semblables ». Et il n’empêche qu’il récuse fermement le principe de « l’échelle de la nature ». À partir de l’année 1761, il en fera un combat, une nouvelle idée à contrer. Voltaire n’est pas l’auteur d’un ouvrage spécifiquement dédié à la question du végétarisme. En revanche, ce thème de