Les échanges éxtérieurs
En situation : compléter le premier article par un encadré sur la nouvelle théorie du commerce international.
Après avoir présenté la théorie des avantages comparatifs, sera expliqué les dysfonctionnements qu’il en résulte.
Au XIXe siècle David Ricardo complète le raisonnement des avantages comparatifs. Il démontre qu'un pays qui ne possède aucun avantage absolu peut tout de même participer aux échanges internationaux. Celui-ci doit alors se spécialiser dans les productions pour lesquels ses coûts de production sont inférieurs à ceux de tous les autres pays (avantage absolu). Il importera alors des productions qui ne sait pas produire ou dont les coûts de production sont supérieurs auprès des biens importés.
En d’autres termes le but de cette théorie est d’évité de défavoriser les pays les moins développés et d’augmenter la concurrence.
Néanmoins des dysfonctionnements en ressortent. En effet, on peut constater que ce sont toujours les mêmes pays, entre autre Triade et l’Union Européenne (document 11), qui échangent ensembles des biens et ou services intra-branches (document 10). Les pays moins développés tel que L’Afrique, le Moyen-Orient ou encore l’Amérique du Sud, sont mis à l’écart et donc pénalisés par rapport au commerce international. Une remise en cause de cette théorie est donc nécessaire étant donné que les grands pays n’exercent que les échanges intra branchent entre eux.
C’est alors dans un second temps que nous aborderons la nouvelle théorie du commerce international de P.Krugman (fin de années 1970) afin d’essayer de changer le fonctionnement.
Cette nouvelle stratégie de différenciation des produits donne lieu à deux types de commerce international. (Document 12)
L’un résulte d’une différenciation horizontale, c'est-à-dire que les produits proposés aux consommateurs sont de même qualités mais présentent des différences réelles ou perçues.