les troubles de la santé mentale
1. Quelles sont mes ressources personnelles face aux difficultés de la vie ?
Le plus important est de se dire qu’on peut surmonter les problèmes et donc de ce dire « je peux le faire ». Si on pense qu’on est incapable de surmonter ses problèmes, et bien on ne saura pas les surmonter.
La famille, j’ai la chance de vivre dans une famille unie. Lors des repas, on parle de notre journée ce qui permet de dire les difficultés qu’on a rencontré et chacun peut donner son avis sur la façon d’agir dans un tel cas. Lorsque j’ai un souci, mes parents sont disponibles. Papa et maman sont également des professionnels de l’aide sociale. Ils sont d’autant plus proches de mes préoccupations d’étudiant en agent d’éducation, ceci est un atout important.
Les amis, j’ai beaucoup d’amis proches à qui je peux parler. Ils sont toujours disponibles et me permette de me changer les idées lorsque j’ai des difficultés.
Je suis aussi d’un caractère optimiste et souvent de bonne humeur ceci me permet de faire la part des choses entre l’important, le superficiel voire le superflu. Je pense aussi avoir une grande capacité d’écoute et d’empathie et une envie d’aider autrui.
En dehors de mes études, j’ai de nombreux hobbys : la musique, l’animation de soirée, l’équitation. Ceux-ci me permettent de sortir des conflits intérieurs ou des difficultés passagères.
2. Un éducateur doit-il être en bonne santé mentale pour être compétent ?
On peut être compétent grâce à une bonne formation professionnelle et être de santé mentale fragile. La compétence est donc le résultat d’une expérience professionnelle et d’une formation sérieuse. La santé mentale est une maladie. Je pense néanmoins que pour travailler dans le secteur de l’aide sociale, il faut une bonne santé mentale et les compétences maximales. Certains disent que pour pouvoir comprendre certains comportements, il faudrait avoir vécu les mêmes difficultés. Par exemple, travailler avec des drogués ou des