les puissances de dix
strophe
Relevés stylistiques
Effets produits
Strophe 1
v.1 allégorie de « ma Douleur »
Par l’utilisation de la majuscule et du possessif « ma » la « Douleur » semble s’associer à l’être du poète
v.1 utilisation de l’impératif « sois sage » « tiens-toi » la douleur semble être un personnage à part entière de la vie du poète
v.2 allégorie de « le Soir » par la mise en valeur en majuscule
v.1 et v.2 allitération en « s » permet de mettre en valeur le mouvement du « Soir »
v. 3 « une atmosphère obscure enveloppe la ville » amène du flou à la scène
v .4 antithèse « aux uns portant la paix, aux autres le souci » le poète met en opposition sa conviction et celle de la foule face à l’arrivée de la nuit sur la ville
Strophe 2
v.5 adjectifs péjoratifs qualifiant (la foule) « …des mortels la multitude vile » montre le dégoût de Baudelaire pour ces semblables
v.6 et v.7 « le fouet du plaisir », « ce bourreau », « fête servile »
Il accuse l’homme d’être l’esclave de son plaisir ; plaisir malsain
v.8 « donne-moi la main »
Il demande et cherche une délivrance
Strophe 3
v. 8 et v.9 l’enjambement
Met en relief « loin d’eux » ce qui montre le dégout de Baudelaire à être avec ses semblables
v.10 allégorie de « les défuntes Années » personnification du passé ; souvenirs regrettable de Baudelaire à l’égard de Femmes probablement mortes
v.11 Allégorie de « Regret souriant » personnification du « regret » sortant des profondeurs de ces souvenirs
Strophe 4
v.12 l’oxymore « le soleil moribond s’endormir … » fait référence à un coucher de soleil symbolisant la fin de la vie
v.13 « un long linceul » nouvelle image de la mort
v.14 la périphrase et allégorie de la «douce Nuit » est une vision plus douce de la Mort
Ce poème est composé de 2 quatrains et de 2 tercets, en alexandrin, composé de rimes croisées (ABAB).