Les hipopo du Gabon
- les membres de l'ue ont tout d'abord relancer en augmentant les dépenses public ( car la crise a provoqué un choc de demande)
B. Politique budgétaire de rigueur
- ensuite ils ont instaurés un climat d'austérité (baisse des prestations sociales, suppression de poste...)
II_ les limites de ces politiques budgétaires
A. Limite économique
- déficit public et dette public en forte hausse
- inflation
B. Limite sociologique
- hausse des inégalités
- dégradation des classes populaires et moyennes
I) Les politiques budgétaires actives ont permis d'atténuer les effets de la crise
A. Constat
B. Les politiques budgétaires permettent la mise en oeuvre des politiques de relance pour soutenir l'activité économique
C. L'efficacité des politiques budgétaires peut être remise en cause
II) Mais des limites et contraintes
A. Des limites économiques
B. Mais également institutionnelles
I- Mise en place de ces politiques budgétaires actives et impacts sur la crise:
A/. PIB
B/. Emploi
II- Ses limites:
A/. Coûts importants
B/. Augmentation de la dette et des déficits publics
De manière analogue, les programmes de recapitalisation et les garanties publiques offertes aux banques par les Pouvoirs Publics devaient être suivis de politiques budgétaires largement expansionnistes afin de soutenir la demande globale largement affectée par la détérioration de l’emploi. C’est toute l’histoire des différents plans de relance mis en œuvre dans différents pays du monde.
Mais comme un choc symétrique (affectant tous les pays simultanément) a des effets asymétriques car les économies ne sont pas dans la même situation initiale, les plans sont très variables dans leur ampleur et leur structure.
Dans la même logique, l’effet des stabilisateurs automatiques sur le ralentissement et/ou la reprise va varier d’une économie à l’autre en fonction des structures respectives des recettes et des dépenses publiques et de leurs poids