Le manteau de nigol
Pour réussir un tel travail, nous allons d’abord présentés l’auteur et son œuvre, ensuite tentées de dire quelles postures énonciatives utilisées, et enfin faire une conclusion.Nicolaï Gogol et Le ManteauCritique littéraire, dramaturge, romancier et nouvelliste russe d’origine ukrainienne, Nicolaï Gogol est né le 20 mars 1809 et mort le 21 février 1852. Les Nouvelles de Saint-Petersbourg est son cinquième receuil, et c’est dans cedit receuil qu’on y trouve Le Manteau, la nouvelle qui nous intéresse. Elle raconte l’histoire d’un personnage minable qui après avoir été dépouillé de son manteau – dans lequel il a flambé toute son économie - est mort de chagrin et de honte. Mais une fois ensevelie, il retourne pour tourmenter tel un revenant …afficher plus de contenu…
Il en existe trois types : focalisation interne, focalisation externe et focalisation zéro. Dans le cas de la nouvelle de Gogol, on retrouve que les caractéristiques de la focalisation zéro charpentent tout le récit. Lesquels caractéristiques sont en un mot l’omniprésence du narrateur : il voit tous, connais tous, et sait tous des personnages ; leurs histoire, leurs pensées, leurs intimités et leurs souvenirs. Dès les premières pages de “Le Manteau”, on remarque que l’auteur nous donne beaucoup d’informations sur le personnage principal de l’histoire, en l’occurence Akakii. Le narrateur connait son passé, la situation de son existence, somme toute le narrateur ne donne pas aux lecteurs le droit à l’imagination