Le ventre de paris
Ce passage porte presque entièrement sur la description : Florent s’arrête pour contempler la charcuterie mais son regard se dirige sur la propriétaire, patientant sur le seuil de sa porte.
Avec les les champs lexicaux tournant autour
Il nous fais une description avantageuse de celle-ci ce qui fait ressortir sa beauté tant bien physique que morale « C'était une belle femme », « elle avait un air de grande honnêteté ».
Florent à parfois tendance à embellir la réalité « quand il aperçut une femme sur le seuil de la boutique,dans le soleil » il la comparerait presque à une déesse dont les habit blanc refléterai les rayons du soleil « Dans tout ce blanc […] elle ne clignait pas des yeux, elle prenait en toute tranquillité béate son bain de lumière matinale riant aux halle débordante ».
Elle apparaît comme une idole sereine, dont la lumière reflète sa pureté et accentue sa beauté.
Il l'a décrit semblable a une divinité car on nous dis que Florent est affamé et passe devant une boucherie de luxe et admire la devanture. On comprend donc qu'il n'est pas de la même classe sociale que celle-ci et qu'il l'imagine en surestiment sa beauté et son intelligence.
Cela peut se comprendre par la présentation irréprochable qu'elle affiche dès le matin avec sa tenue et sa coiffure : « ses manches et sa jupes éclatantes », «ses cheveux, lissés, collés et comme le vernis, lui descendaient en petit bandeaux ... ».
Florent emploie l'expression « elle affichait une bonheur de plus dans toutes ces gaîtés grasses » qui signifie qu'il associe la beauté de cette femme