Le misanthrope de molière : scène d'exposition
Alceste est le personnage principal, il est définit comme un misanthrope, des phrases de cette scène prouve son dégout pour le genre humain, "Tous les hommes me sont à tel point odieux" vers 10 et "je hais tous les hommes" vers 17. Il est également inceste, il vit dans l'excessivité, des hyperboles soulignent ceci, comme "à tel point" au vers 10, "une effroyable haine" au vers 13, "tous les hommes" au vers 17. La haine d'Alceste pour le genre humain est universelle, elle est souligné par le parallélisme qui régularise le rythme et créée un équilibre qui met en valeur cette haine, comme au vers 18 et 19 "Les uns parce qu'ils sont méchants et malfaisants, les autres pour être aux méchants complaisants " Cet excès d'Alceste s'oppose à la modération, la mesure, de Philinte.
Tout premièrement, il y a l'intrigue du procès, elle est explicite, annoncée directement au vers 23, "Pour le franc scélérat avec qui j'ai procès". En effet, Alceste est en procès avec un scélérat, un bandit. Puis deuxièmement, il y a une intrigue amoureuse, elle est implicite, annoncée indirectement dans le vers 16 "Encore en est-il bien, dans le siècle où nous sommes", les points de suspension à la fin de vers nous montre qu'il y a une histoire d'amour, une intrigue amoureuse faisant référence à Célimène qui constitue une exception à la haine d'Alceste pour l'humanité. Philinte relève ainsi une contradiction d'Alceste et de sa misanthropie excessive. Enfin, il y a un écho avec le dénouement de la pièce, au vers 42-43 qui se retrouvent aux derniers vers de la