Le message VS3 1
C’est une description des rues abîmées dans le livre. chapitre 1 : « Autour, les arbres déracinés, la chaussée défoncée, les taches de sang rouillées sur le macadam, les rectangles béants et carbonisés de immeubles, prouvaient clairement que les combats avaient été rudes ; et la trêve, une fois de plus, précaire. ».
C’est une guerre civile. chapitre 11 : « Ici, la destruction, la violence, la haine ont pris tous les masques. […]. Les voisins de la veille vous égorgent Les amis de toujours vous poignardent. Les uns comme les autres n’ont plus nu compassion, ni réflexion, ni amour. L’horreur est partout. Le goût du sang les rend ivres. En quoi, à croire désormais ? »
Anton et Anya doivent enfin s’enfuir du quartier désolé et il savent que la guerre fait rage encore. chapitre 15 : « La zone est toujours dangereuse, tout à l’heure tu as bien entendu les coups de feu … Nous serons les derniers à partir. »
Ce sont des mots de Giorgio. Il se trouve un homme important, grâce à la guerre, il est devenue ‘quelqu’un’ et il craint de perde son prestige. chapitre 35 : « Le pays d’était divisé, démembré, les courtes trêves se transformaient en représailles, en vengeances, puis les luttes reprenaient. La souhaitait-il cette paix qui détruirait d’un coup ses privilèges, saperait la puissance que lui conférait son arme, qu’on lui reprenait sans doute quand les hostilités cesseraient. »
L’hôpital a été ravagé. chapitre 44 : « Au bout d’une rapide et longue marche, arrivé à l’embranchement qui donnait sur les bâtiments hospitaliers, Giorgio n’y trouva que ruines. En grande partie détruite pas une voiture piégée, la bâtisse gisait dans un éboulis de gravats, un éparpillement d’appareils électroniques, de portes fracturées, d’armoires et de tables démolies, lits disloqués, de papiers dispersés. Vidé