Le libraire
Ce qui est majoritairement ressorti concerne la diminution de l’implication de l’État ainsi que les demandes de subventions effectuées par les différents organismes communautaires.
C’est donc avec ce point que je vais débuter mon analyse pour ce travail, puisque la grande diminution de l’État y est pour beaucoup au niveau de la pauvreté. S’il y avait une plus grande implication de la part de notre État, il y aurait nécessairement plus de services ou de ressources accessibles aux personnes plus démunies qui seraient en mesure de leur apporter de l’aide. Comme les entreprises privées s’accaparent les secteurs nationalisés de l’économie et que leur but est d’arriver à faire un profit considérable, ils augmentent donc les prix des services, ce qui fait que les personnes plus défavorisés ne sont plus en mesure de se procurer ces services souvent essentiels. Ce qui amène de grandes fermetures de commerces, une augmentation de personnes sur le chômage, ainsi qu’une diminution de la classe moyenne qui vient agrandir le fossé entre les riches et les pauvres. Les différents organismes communautaires se retrouvent avec une surcharge de travail, un manque de ressources et de financements. Ce qui explique les nombreuses requêtes faites auprès du gouvernement québécois, afin d’obtenir davantage d’aide financière pour arriver à lutter convenablement contre la pauvreté. Toutes ces difficultés surviennent du fait que la mondialisation prend de plus en plus d’importance et d’expansion au niveau