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Référence : John H. Goldthorpe, « Mobilité sociale et intérêts sociaux », dans Sociologie et Sociétés, vol. 8, no 2, 1976, p. 7-36.
Question : L’interrogation porte sur la perte dans des problèmes techniques et surtout statistiques chez ceux qui analysent la mobilité, en relation avec la caractérisation des taux et des habitudes différentes de la modalité, de leurs motifs et effets, leur adéquation à la forme de données que le sociologue travaille nécessairement. De plus, l’interrogation se fonde sur une la recherche en mobilité qui est dénoncée d’être tortillée idéologiquement puisqu’elle accorde à la mobilité une position au cœur de l’étude de la stratification, ainsi elle participe au rabaissement des problèmes plus essentiels, surtout ceux de la « division en classes et des conflits de classes ». Puis, elle porte sur la fermeture d’autres avenues de découverte qui est une position à caractériser les problèmes que l’on désire analyser compte tenu des possibilités de ces techniques.
Thèse : L’analyse de la mobilité sociale pendant les cent dernières années aux différents intérêts, ce recensement qui prouve que l’analyse de la mobilité n’est pas du tout alliable avec un seul genre d’option idéologique; la relation entre un intérêt pour la découverte sur la mobilité et une affiliation idéologique spécifique n’est pas importante.
Arguments : Ce qui donne lieu à tout individu de prendre une place dans la société, conjointement avec ses capacités, c’est la croyance en l’existence dans la démocratie libérale de diverses occasions. Cette croyance est à l’origine de l’aveuglement du libéralisme devant le problème de la mobilité. C’est une croyance qui trouve sa base dans le darwinisme social. La division des positions pourvues de niveaux variables, de privilège et de pouvoir avait la possibilité d’être justifiée en tant que reflet de « la loi du plus fort ».
Ce qui conduit nécessairement à la considération de la mobilité en tant que