La violence entre dans roman jean barbe
Tout d'abord, Patrick et François sont tous les deux contrôlés par de la violence physique. Quant à Patrick, les disciples de l'amour éternel l'ont contrôlé en lui faisant subir de mauvais traitements afin de le punir :
" Ici, on ne touchait Patrick que pour le punir, par l'entremise d'une courroie de cuir. "
Le paronomase compris dans les mots "punir" et "cuir" exprime bien l'association entre la punition et la courroie de cuir. Chez les disciples, le cuir n'était pas considéré comme un luxe mais il représentait un signe de sanction pour Patrick et ses frères. De plus, les disciples imposeraient à Patrick, s'il resterait pour son seizième anniversaire, à commettre des actes de violence :
" À compter de demain, il pourrait agir comme certains grands frères et humilier dans leur chair les plus jeunes disciples en leur infligeant la douleur du sexe."
Cette métaphore ( comparant : chair, comparé : au plus profond d'eux), démontre à quel point les disciples mortifient les jeunes par une telle violence, qu'ils sont blessés au plus profond de leurs entrailles. Tout comme Patrick, François a aussi vécu de la violence lors de son jeune âge par le contrôle qu'exerçait sa mère sur lui. Entre autre, lorsqu'il lui affirme qu'il ne retournera plus au collège :
" Je me dis que c'est probablement ainsi que la haine et la mort me