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Jean-Pierre Rivère, président de l'OGC Nice, a participé aux débats: "On a tous le même objectif: que la violence dans les stades disparaisse. Tout le monde a exprimé son point de vue. Ce n'était pas un réquisitoire. C'est ensemble qu'on essaie de trouver des solutions. Certes, on va vers plus de fermeté, vers une répression accentuée contre les fauteurs de troubles, mais il n'a pas été question d'une interdiction totale des déplacements de supporters. Le foot doit rester une fête qui peut se vivre en famille."
Cette réunion qui a duré le temps d'un match, c'est-à-dire 90 minutes, a réuni les représentants de Nice (Jean-Pierre Rivère et son directeur général Julien Fournier étaient présents), de Marseille, du PSG, de Saint-Etienne, de Bordeaux, de Lyon, de Montpellier et de Metz.
Bien sûr, le Nice-Saint-Etienne du 24 novembre dernier était dans toutes les têtes. "Il n'est plus question de revoir des sièges arrachés, des bagarres entre supporteurs, c'est inacceptable. Le ministre a été très clair là-dessus, la répression va être accentuée. Le ministre a dit qu'il réunirait bientôt les préfets pour faire passer ce mot d'ordre de fermeté", a déclaré le président de la Ligue de football professionnel Frédéric Thiriez.
Jean-Pierre Rivère, président de l'OGC Nice, a participé aux débats: "On a tous le même objectif: que la violence dans les stades disparaisse. Tout le monde a exprimé son point de vue. Ce n'était pas un réquisitoire. C'est ensemble qu'on essaie de trouver des solutions. Certes, on va vers plus de fermeté,