Dans ce roman, la femme est représenté comme une créature vraiment dégradante pour qui la seule façon de se faire de l’argent est en se prostituant ou comme Momo le dit, en se défendant avec son cul. À chaque fois que Momo nous parle d’une femme, il ne dit pas des choses méchantes à sont sujet, mais il mentionne souvent le fait qu’elle se défendait sur telles et telles rues ou encore le temps où c’était une pute. Il est évident qu’il est normal qu’il en parle vu qu’il a été élevé dans cet univers et aussi parce qu’il est lui même fils de pute. Par contre, il a parfois des réactions un peu trop péjoratives. «Elle m’a parlé, elle m’a fait une fleur, elle m’a souri gentiment et puis elle a soupiré et elle est partie. Une pute.» Ici, Momo nous parle de Madame Nadine qu’il a rencontré devant la vitrine où il y avait le cirque. Elle c’était inquiété de le voir pleurer ainsi donc elle lui avait gentiment posé quelques questions. Cependant, Momo c’était tout de suite demandé pourquoi elle le draguait. Dans ce passage, nous pouvons clairement constater à quel point le milieu où Momo vit l’influence. Aussitôt qu’une femme est gentille avec lui, il le perçoit comme si elle lui faisait des avances. Dans sa tête, il est comme impossible d’être seulement gentille sans attendre rien en retour ou sans être une pute.
L’imaginaire est très important dans la vie de Momo, car c’est grâce à lui qu’il réussi à s’évader et à percevoir une petite parcelle de ce qu’est vraiment le bonheur. Lorsqu’il se met à rêver, ce sont des clowns qu’il fait apparaitre. Il aimerait beaucoup être l’un des leurs, car pour lui : «Les clowns seuls n’ont pas de problème de vie et de mort…» Momo vit beaucoup de problèmes avec Madame Rosa qui a besoin qu’on s’occupe d’elle et des autres mômes. Il en a plus qu’il devrait en avoir à supporter sur ses épaules. C’est pourquoi lorsqu’il pense aux clowns, cela lui procure du bien. Ils représentent le bonheur véritable. Par exemple, lorsqu’il est devant la vitrine