La société francaise a la belle époque
La prospérité de la Belle Époque devrait profiter aux plus grand nombre mais la société Française reste rurale donc une société qui majoritairement ne profite pas de la prospérité ce qui nous amène à nous poser la question du profil de cette société française à la Belle Époque et de son unité. Mais une partie est urbaine et vit l'industrialisation. Quelle unité la société française peut elle trouver alors que cette société rurale ne profite pas de la prospérité dans sa globalité?
Ceux qui profitent de la prospérité
Ceux qui profitent de la Belle Époque sont les nobles, c'est à dire les Châtelains mais aussi des urbains qui vivent dans des hôtels particuliers. Ce sont eux qui forment la vie de société, ce sont des oisifs, que l'on retrouve dans les salons, dans les grands restaurants (Maxime...), dans les clubs (notamment les clubs automobiles...). Cette noblesse qui est en plein déclin est très proche de la haute bourgeoisie d'affaire qui acquiert ses lettres de noblesse. Elle réussit en affaire grâce à l'industrialisation, ce sont les entrepreneurs.
Ce qui profite également de la Belle Époque est aussi la classe moyenne qui se développe qui correspond à la petite et moyenne bourgeoisie. Elle est aussi également composée de cadres, c'est une catégorie sociaux professionnels nouvelle. Les ingénieurs, les techniciens, les journalistes, les architectes et les fonctionnaires (les rond de cuir (Maupassant)) sont des gens de classes moyennes. Les fonctionnaires sont 450000 en 1914, aujourd'hui ils sont 5 millions divisé en trois parties: les fonctionnaires d' État qui sont 2 millions, les collectivités locales (fonctionnaires départementaux, fonctionnaires régionaux...) et les hospitaliers qui sont 1 million environ. Il y aussi des petits fonctionnaires (facteurs, douaniers,...) qui gagnent autant que les ouvriers et qui n'appartiennent pas vraiment à la classe moyenne.
A cette époque, la fonction publique à