L’industrie automobile française est aujourd’hui encore un poumon de l’activité française avec deux de ces constructeurs classés parmi les dix premiers constructeurs mondiaux, qui emploie bon nombres d’ouvriers, d’ingénieurs et etcétéra. Ce mastodonte de ce que l’on définit comme l’ensemble des activités économiques qui produisent les automobiles tel que nous les connaissons, ceci par la transformation de matière première et qui englobe les géants de l’automobile mais aussi les PMI sous-traitantes est au regard des actualité frémissant, tributaire de la situation économique précaire. Ainsi on peut se demander non pas si la crise agit sur cette industrie, mais dans quelle mesure la crise influe-t-elle sur ce vivier d’emploies et quels sont la proposition et les solutions apportés par nos politique ? Pour répondre à ces interrogations nous étudierons tous d’abord la santé de ce secteur économique puis nous analyserons les éléments de solutions mis en place par nos polittique afin de répondre à ce problème. I. L’industrie automobile française dans le rouge A. Des indicateurs alarmant
Dans de nos nombreux pays industrialiser on constate que l’industrie automobile prend une place importante dans l’activité industriel du pays, avec les Etats-Unis, l’Allemagne, La grande Bretagne et bien sûr la France qui ne déroge pas à cette règle. Cette industrie prend ainsi une place importante dans le Produits Intérieur Brut (PIB), mais aussi l’emploi avec selon . Donc il légitime de remarquer que les indicateur de la hausse du chômage que fournit régulièrement l’INSEE, peuvent renseigner sur la santé de l’industrie automobile française. Car même si il est clair que l’industrie française ne s’articule pas qu’autour de l’automobile, on admet que dans l’actualité du paysage industriel français la par belle est faite aux usines des groupes PSA et Renault qui sont les principaux constructeurs français et dont les usines et les sous-traitants emplois de très nombreux