La politesse dissertation
« L’homme est à inventer chaque jour » Sartre.
Somme-nous libres ? C’est la question que tout le monde s’est déjà posée au moins une fois dans sa vie. Comment définir la liberté ? Peut-on dire que l’homme est libre ? Pourquoi oui ? Pourquoi non ? Qu’est-ce qui est à l’origine des limites de notre liberté ?
L’homme libre peut-il vivre sans les contraintes sociales? La liberté de l’homme a souvent été et est encore un enjeu important dans notre société. De tous temps, des personnes se sont battues pour acquérir une certaine forme de liberté. Prenons comme exemple actuel les manifestations récentes, assez fréquentes, en rapport avec l’âge de la retraite qui ne cesse d’être repoussé. Les personnes qui manifestent se battent car elles ne sont pas en accord avec ce que les autorités considèrent comme leur limite de travail. Les besoins de la société prévalent sur la possibilité laissée à chacun de choisir leur mise à la retraite. Ces personnes là auront beau manifester autant qu’elles voudront, elles n’auront jamais le choix de définir les limites de leur temps de travail. Y a-t-il vraiment quelque chose de plus fort que l’autorité ? Lorsque les contraintes sociales s’opposent aux libertés individuelles, nous n’avons pas les cartes en mains. Tout ce que l’on peut faire c’est accuser le coup.
Seule la liberté doit arrêter la liberté. Ce n’est qu’au nom de la liberté qu’il est admissible et nécessaire dans la plupart des cas, de poser des limites à notre liberté. Lorsque vous rentrez dans un bar pour aller boire un verre avec vos amis, il était désagréable pour les personnes n’adhérant pas à l’odeur forte et mauvaise du tabac d’y rester. C’est pourquoi les autorités belges ont décidé d’instaurer une règle. C’est-à-dire de diviser les zones des restaurants et des bars en deux parties, fumeurs et non-fumeurs, voir même d’interdire la consommation de tabac dans certains lieux réservés au public. Cette règle nuit à la liberté des personnes