La corée du nord et le zaire : deux dictatures qui divergent
A) Communication avec l’extérieur La Corée en tant que pays fermé et contestataire exerce un contrôle négatif sur les entrées d’hommes et de marchandises. Seuls de rares journalistes ou touristes sont autorisé à entrer dans le pays. Frontière coréenne
En effet la Corée a une frontière matérielle et militarisée sur 2500 km avec près d’un millions de soldats répartis sur tout son long. Le contrôle à la frontière est sûrement le plus important avec la législation la plus importante au monde. Pour pouvoir rentrer en Corée il faut une autorisation descendant directement du gouvernement. Sans ce précieux sésame il est tout simplement inimaginable de séjournée ou de rester même une petite heure dans le pays. De plus le gouvernement refuse la venue d’observateurs indépendants (journalistes ou enquêteurs). La Corée, malgré son image d’enfant terrible pour les droits de l’homme refuse la venue de spécialistes. Dans ce pays la situation est désastreuse car la Corée ne respecte pas ou très peu les conventions internationales sur le travail ou sur les droits de l’homme. Pour le tourisme ou plutôt pour les quelques rares touristes autorisés à entrer dans le territoire et à visiter le pays, l’état les encadres et les suis de près. Ils ont une étiquette « touriste » accrochée au cou et ont un parcourt touristique à respecter avec des villes, quartiers, monuments précis où se rendre. De plus comme si cela ne suffisait pas les touristes une fois rentrés chez eux sont quasiment toujours interrogés et dans les témoignages il ressort que pendant tout le long du voyage, ils sont encadrés par des guides strictes qui ne tolèrent aucun écart de conduite et de parcours.
De plus la Corée exerce aussi un contrôle important sur son image et notamment comment le monde la voit. En effet elle laisse paraître sa bonne face, cache ses défauts et exerce une large politique de contestation et de censure à l’encontre des journaux