LA CANTATRICE CHAUVE
Mary, la bonne des Smith, arrive entre deux repas pour proposer à son tour, une anecdote. Tout le monde s’interroge autour de la table, serait-elle devenu folle ? demanda M. Martin. D’après les deux couples, cela n’était pas permis et était très mal poli, surtout pour une bonne, quand tout d’un coup, M. Smith prononça le nom de Mary. Le pompier, présent au diner, la reconnu immédiatement. Les deux couples, surpris et se demandant ce que Mary et le pompier avaient en commun. Les deux personnages étaient dans le passé amoureux et ce diner a permis de faire leurs retrouvailles. Les Martin, conquis par cette retrouvaille, essayes de défendre Mary, mais la famille Smith continue de la repoussé car la place d’une bonne est, d’après eux, pas ici. Quand a Mary, elle prétend que les Smith ne sont pas si méchant que sa et qu’ils ont raison de la renvoyé à son travail de bonne. Après quelque échange entre les deux couples sur la situation de Mary et du pompier, Mary décida de rester et de réciter un poème en l’honneur du pompier :
Le feu
Les polycandres brillaient dans les bois
Une pierre prit feu
Le château prit feu
[…]
Tout prit feu
Prit feu, Prit feu…
Mary, tout-en récitant le poème, se faisait pousser par les Smith hors de la scène.Les Martin et le Pompier, extrêmement touchés par ce poème, essayent de convaincre les Smith que Mary n’est pas qu’une simple bonne. Mais les Smith ne veulent rien savoir. Il est l’heure pour le Pompier de partir.
Une fois le Pompier partit, les deux couples commencèrent à se disputer, les deux couples se comparent et les esprits s’échauffent.