La bicyclette
Le premier aspect que l'on remarque dans ce texte serait celui de la personnification de la bicyclette par Jaques Réda car, en effet, l'auteur de ce poème donne la vie à ce simple objet. La première citation que nous pouvons relever pour argumenter cette première idée apparait un peut avant la moitié du texte, lorsque l'auteur débute la description du sujet de son texte; " En éveil dans sa fixité calme [...] " (vers 9). D'après cette citation, le vélo serait vivant malgré qu'il soit parfaitement immobile et, pour conclure cette phrase, l'auteur attribue l'être vivant auquel il correspond d'après ce critère ; " [...] c'est un oiseau. " (vers 9), cependant, l'auteur semble se contredire car de mon point de vu, un oiseau est tout sauf immobile. Plus loin dans le texte, après la description du paysage, on relève ; " La bicyclette vibre alors [...] " (vers 15), d'après l'auteur, elle frissonnerait dans ce paysage de fin de journée automnale. En complément, la citation " [...] on dirait qu'elle entend. " (vers 15) laisse paraitre que le vélo observe le monde en restant immobile. La dernière phrase à relever pour soutenir mon hypothèse est; " [...] on la verrait s’enlever d’un seul bond " (vers 19), comme un animal craintif qui s'enfuit lorsque l'infâme humain s'approche de lui. Après tous ces dires, on peut en effet affirmer que l'auteur a voulu, dans un premier temps, rendre ce banal vélo tout aussi vivant qu'un animal.
Un autre de ces aspects spéciaux que détient cette fameuse bicyclette est son aspect défini par Jaques Réda; il est à noter que dès les premiers mots de la description du vélo dans