La batalla por el usted
Quand j’étais petite, au commencement du siècle passé, le tutoiement s’utilisait avec amis, avec la plupart des personnes de confiance avec la plupart des personnes de la famille, certainement avec nous les enfants. Aussi les gens simples utilisaient seulement le tutoiement. Le vous était réservé aux personnes avec lesquelles il n’existait pas de relations strictes de parenté ou d’amitié. Il marquait une distance, un respect.
C’est la raison pour laquelle mon attention que certains enfants ont à parler à leurs parents est importante. A été le cas très proches, de ma grand-mère paternelle, a qui tous les enfants et petits enfants ont utilisé le vouvoiement. Je n’approuve pas de l’utiliser avec des parents trop proches.
Ils sont, le tu et le vous entremêlés dans une lutte d’où le vous va en perdant inexorablement du terrain. C’est une bataille qu’initièrent les « progressistes » dans les années soixante. Elle semblait une mesure égalitaire, de gauche, un moyen de plus d’éliminer les différences de classe. Mais il a un problème irrémédiable, il n’existe pas de meilleur classement que de mener le tu à des individus qui pour ses conditions se voient forcés de te parler avec le tu, il n’existe pire classement que de tutoyer les bonnes, le chauffeur, les serveurs de bar d’un bon restaurant, il n’y a rien qui n’exprime plus les différences. Tant qu’il n’existe pas clairement un système dans lequel le tutoiement soit obligatoire pour tous.
S’il n’y a pas une raison idéologique qui le justifie, si on ne parle pas de ce qui est politiquement correcte. Quels sont les avantages a appauvrir la langue ? En éliminant le vouvoiement ?
Il n’est pas préférable qu’il y est plus d’alternatives, de meilleures possibilités de nuances et de jeux.
Pourquoi ne pas marquer, dans le langage, les différences qui se font dans la réalité ?
En quoi cela améliore t’il la relation professeur élève ?
Que le gars qui entre à l’université, tutoie, le premier jour