La baboush
Dans un développement structuré vous présenterez dans une première partie les avantages du libre-échange, et, dans une seconde partie, les problèmes qu’il pose.
Actuellement, l’option de la plupart des Etats réunis dans le cadre de l’Organisation Mondiale du Commerce consiste dans le libre-échange. Il repose sur la libre circulation des biens, des services, des capitaux entre les Etats souverains en matière d’échange international. Les effets positifs qu’il implique n’excluent pas certains problèmes.
Le consommateur a le choix entre de nombreux produits résultant d’une offre accrue des entreprises impliquées dans une action concurrentielle forte.
Du fait des économies d’échelles et dans la mesure où l’entreprise cherche à élargir son marché, les produits sont vendus moins chers. Suivant des lois économiques biens connues et analysées par Adam Smith et David Ricardo notamment (« la première croyance est que, s’il y a un gagnant à l’échange, il y a forcement aussi un perdant. Conjugué au « fétichisme monétaire », cela conduit à penser que les exportations sont « bonnes » et que les importations sont « mauvaises ». La théorie de l’avantage comparatif de David Ricardo (1817) tente d’invalider ce raisonnement »), le libre-échange entraine une spécialisation des entreprises dans les activités performantes, améliorant la qualité de la production et les exportations. Selon ses défenseurs, le libre échange favorise le développement économique général à long terme, et permet d’obtenir une meilleure efficacité en permettant une utilisation optimale des facteurs de productions par la spécialisation géographique de chaque pays et région.