introduction histoire des arts societe de consommation
Une génération qui ingurgite une multitude d’informations par minutes, par clic, par ses bandeaux et affiches publicitaires qui envahissent mon téléviseur LCD ou plasma, la presse, les salles de cinéma, les films, le net et les réseaux sociaux, de Facebook à Instagram. Une génération influencée dans ses choix vestimentaires, dans ses codes par une kyrielle de pubs qui ne sont que référence pour nous. Une génération où il fait bon de porter le dernier tee-shirt Hollister, le dernier Vanessa Bruno au poignet, sans omettre les Ray-Ban posées sur mon nez, alors que je communique via le dernier IPhone ou BlackBerry.
Alors, oui je fais partie de cette génération où la marque à son importance, où la société de consommation est reine, et où tu ne peux échapper à cet effet sinon tu n’es plus des nôtres.
Face à ce constat et à mon impuissance à éviter cette influence de cette société, je me suis interrogée sur l’origine de la société de consommation, son pouvoir sur le consommateur, son rôle dans notre vie, et si elle avait toujours était aussi influente. Je me suis demandée aussi comment les créateur de cette société avaient développé ce lavage de cerveau pour ne plus me laisser le choix.
C’est à travers trois œuvres, Supermarket Lady de Duane Hanson, Campbells Soup Can de Andy Warhol et le Boléro de Ravel, que je vais donc exposer la société de consommation sur nos vies, et qu’il nous est impossible d’y échapper. Nous sommes libres, mais peut-être pas autant que cela ? La société de consommation use d’armes incroyables pour attirer chaque jour, chaque minute, chaque seconde le consommateur lambda dans ses filets. La