« Il y a beaucoup à dire contre la charité. Le reproche le plus grave qu’on puisse lui faire, c’est de n’être pas pratiquée » . Démontrez comment ce proverbe peut s’appliquer aux petits gestes d’humanité.

Peu importe où l’on est, on sollicite souvent les gens de faire preuve de charité et de donner à ceux qui en ont besoin. Or, cette charité sans cesse demandée est souvent contestée par plusieurs qui en font l’examen critique de la charité.

• La charité est-elle réellement utile? « Aider un pauvre hère à survivre jusqu’à demain, est-ce l’aider vraiment? » pourrait-on demander.

• Aider une personne ne permet pas d’alléger la misère de toutes les autres. Certains disent avoir réalisé leur impuissance devant cette trop grande misère du monde.

• Les dons faits aux organismes caritatifs ne sont pas toujours bien gérés et parfois, leur distribution ne s’effectue pas.

Il est vrai que l’on peut condamner la charité, surtout lorsqu’on ne la pratique pas. On peut lui reprocher d’être l’œuvre de personnes sans scrupules qui s’enrichissent sur le dos des gens. On peut lui reprocher de ne pas véritablement aider les gens, en leur fournissant qu’une petite béquille. On peut aussi questionner son utilité. Oui, il est possible d’en faire le procès, mais face à la misère grandissante du monde, il est encore plus exact de reprocher aux gens de ne pas la pratiquer quand ils le peuvent. Malgré ce que certains affirment, la charité répond à des maux et à des besoins véritables. Il serait cruel de ne pas la pratiquer car elle est si profitable tant pour ceux qui reçoivent que pour ceux qui donnent.

Chaque jour, il est possible de lire dans les revues, dans les journaux, à la télévision des témoignages de personnes ayant vu la réaction des gens envers lesquels ils avaient posés des petits gestes. Ces personnes croient que la charité contribue au bien être de ces gens et à améliorer la misère du monde.

• Donner de l’argent, de son temps, de sa personne permet