Il se peut que
-Ressemblances : À première vue, la représentation de l’immigrant est similaire dans certains passages des deux romans.
-Argument : La première impression des personnages des deux textes, autre que le personnage principal, n’ont pas toujours une très bonne idée des immigrants.
-Texte 1 : «en tant que Noir, faisait jaser à cause du manque de préparation et de l’étrangeté africaine» (ligne 3-4) / Ainsi, la perception des personnes à l’égard des Noirs, mentionné dans l’extrait, montre que la courtoisie des personnes du peuple n’a pas une bonne mentalité des personnes immigrants par le seul mot «étrangeté», puisque les étrangetés sont toujours mit de coté.
-Texte 2 : «’’Un Nègre! Ah non! par exemple. Jamais de la vie!’’»(ROY Gabrielle, Rue Deschambault. Québec, Boréal Compact, 2010, p. 14.) / La seul mention du mot «Nègre» évoque en la mère un repoussement catégorique qui est un peu trop surfait, puisqu’en n’aillant jamais vue cet immigrant, la mère a déjà une mauvaise idée de ce qu’est un noir.
-Argument : Les immigrants des deux romans sont sociables avec le monde qu’ils rencontrent.
-Texte 1 : «’’Salut p’tit niger black plein d’soupe!’’[...]‘’Enchanté, moi c’est Habéké Axoum.’’» (ligne 16,19) / Le changement abrupte des connotations négatives en connotations positives montre à quel point Habéké est sociable, mais gentil aussi de ne pas répliquer d‘un manière à provoquer la personne qui le provoque.
-Texte 2 : «Cependant notre Nègre nous enseignait la bonté. Le soir, il gardait pendant des heures sur ses grosses mains écartées l‘un de l‘autre un écheveau de laine blanche dont maman faisait une pelote.» (Ibid., p. 23.) / Ce rapprochement de la famille avec le noir durant une soirée, montre que l’immigrant en continuant à être gentil avec les personnes qu’il ne connait pas au premier abord développe une sociabilité avec le monde qui l’entour.
-Différences : Toutefois, la représentation de l’immigrant n’est pas abordée similairement dans