II Les indicateurs du développement durable
Aujourd’hui la notion de PIB économique élaboré en 1934 par le prix Nobel de Kuznetz doit être aujourd’hui compléter par de nouveau indicateur du développement durable => il existe 4 indicateurs
L’empreinte écologique qui a été développé dans les années 90 par William Rees et Mathis wackernagel.
Cette indicateur mesure la pression qu’exerce l’homme sur la nature c’est-à-dire qu’elle évalue la surface productive nécessaire à une population pour répondre à ces besoins de consommation et d’absorption de déchet.
Cette empreinte écologique, le degré d’utilisation de la nature par l’homme à des fins de production et des consommations de matériels.
Selon le WWF, l’entreprise environnemental de l’humanité globale a pratiquement doublé au cours des 35 dernières années et dépasse de 20% les capacités biologiques.
L’empreinte par personne des pays à haut revenu et en moyenne 6 fois plus élevé qu’au pays au faible revenu.
Le PIB vert est un PIB corrigé des atteintes à l’environnement c’est-à-dire qu’on va soustraire du PIB les activités polluante ou réparatrice de dégâts et on additionne un certain nombre non évalué tel que le bénévolat.
L’indicateur de bienêtre économique durable IBED.
Cette indicateur combine les contributions ou bien être durable relevant de l’économique tel que le niveau de vie, le social, l’environnementale et la diminution des inégalités.
IPV indice de progrès véritable cette indice joue à la consommation des ménages diverses contribution à la richesse et au bien-être (travail domestique) et il soustrait la valeur estimer des richesses perdues d’une part au niveau naturel (différentes pollution) mais aussi au niveau sociales (coût sociale du chômage), perte de temps libre.
III Les politiques du développement durable
La croissance économique est source d’externalité et on appelle externalité toute action générant des coûts (externégative) ou des bénéfices (exterpositive) qui ne sont pas supporter où