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Question 1
L’effondrement du prix du carbone en avril 2006.
Lorsqu’on a appris que pour l’année 2005 les émissions de CO2 européen avaient étés inférieures au volume total de permis accordés, la valeur de celle-ci s’est effondrée.
En effet le CO2 devient un marché européen représenté par des permis de polluer. Dès lors ce permis a un prix qui est fixé sur un marché avec des offreurs et des demandeurs qui sont des entreprises. Donc le prix de ce permis se fixe par rapport a l’offre et a la demande.
Etant donné qu’un bilan précis avait été effectué concernant les émissions de CO2 du secteur industriel en 2005, et révélé en avril 2006, les entreprises ont donc comparés leurs quotas d’émission de CO2 à l’année précédente.
Il s’en suit un effondrement « naturel » et inévitable du prix du carbone étant donné que les industriels ont constatés qu’il y avait une marge entre les quotas de permis attribués et ceux et ceux utilisés.
Les industriels ont compris qu’ils pouvaient « polluer plus » par rapport aux nombre de permis accordés. Il est donc normal que le prix du permis de polluer baisse du point de vu de leur nombre.
Cet effondrement traduit donc l’échec du Système Communautaire d’Echange de Quotas d’Emission (SCEQE).
PS : Plus un produit est rare, plus il est cher, et vise vers sa.
Question 2
Aujourd’hui le SCEQE ne peut tirer que profit de l’échec de la phase pilote (2005-2007).
Cette phase pilote a eu quant même un point positif mise à part la contrainte qui s’est avérer faible pour les industriels.
En effet de part le bon fonctionnement du marché européen du CO2 et de la capacité a mesurer les émissions de CO2 d’une manière précise le SCEQE peut dorénavant augmenter la contrainte, la pression envers les industriels à polluer moins.
Etant donné que le SCEQE a dressé un bilan des émissions datées de 2005, il dispose donc de toutes les informations nécessaires pour ajuster le quota de permis en circulation sur le marché.
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