Denise Goulet Gr. :2100 Grande rencontre Pour favoriser le dialogue des savoirs ATTEINDRE LE SOMMET *Conférencier no.1 :* Dr. Pascal Daleau, Vice-doyen à la recherche, Faculté de Pharmacie, Université Laval. M. Daleau se présente comme étant un passionné de la nature depuis son plus jeune âge. Il poursuit son questionnement à savoir comment fonctionne la vie. Ceci l’a amené à axer sa profession dans le sens de chercheur. Aussi, ayant un grand intérêt pour l’alpiniste alors il a associé ses deux passions. Il souligne que l’aventure à graviter les montagnes peut être dangereuse si on ne connaît pas ses limites ni celles des autres. Il y a beaucoup de gens qui veulent graviter des montagnes mais qui ne connaissent pas les dangers en haute altitude. Par exemple le Kilimandjaro est fort populaire et prisé par plus de 25 000 voyageurs chaque année. Plus de la moitié ne réussissent pas à faire son ascension et au moins 25 personnes y meurent en chemin. Et ce sont des gens qui, ne seraient pas mort s’ils avaient eu la connaissance du mal des montagnes. Les symptômes : Quand on monte en montagne, dit-il, on peut avoir tout d’un coup des mots de tête assez intense qui vont résister à l’aspirine ou autres pour soulager la douleur. Ensuite, vous pouvez avoir des nausées. Vous perdez l’appétit, vous avez une fatigue importante. Éventuellement, vous titubez, vous avez le vertige. Etc. Et tout cela peut arriver d’un seul coup lorsque vous atteignez une certaine altitude. Avec un groupe d’étudiants, Maxime Jean (le conférencier no.2) et Dr. Pascal Daleau sont partis au Népal graviter en haute altitude pour essayer de comprendre ce qu’est le mal des montagnes. L’expérience est scientifique, des mesures sont prises, tout est noté. Pour chacun des symptômes, ex : mal de tête, entre 1 à 3, 1. Modéré 2. Moyen 3. Atroce. En fin de calculs et de symptômes…ils peuvent en conclure d’un mal des montagnes. Le prof enregistrait la respiration de ses étudiants pendant