Le rêve individuel se définit spontanément par opposition à la réalité. Il est généralement tenu pour une parenthèse de la conscience, une phase particulière du sommeil. Mais il renvoie aussi à la représentation idéale de ce que chacun désire et voudrait peut-être réaliser. En revanche concernant le rêve collectif si nous reprenons la théorie freudienne du rêve, nous notons que celui-ci est formé à partir de notre expérience réelle. Cela signifie donc que ce que nous vivons, notre éducation mais également notre instruction, notre culture, tiennent un rôle primordial dans la formation de nos désirs et, donc, de nos rêves. Après avoir étudié les œuvres suivantes « Qu’est-ce que l’acte de création ? », G. Delleuze. « La quadrature du rêve français », R. Pol Droit. « Résister, c’est rêver d’un autre monde qui est possible. », I. Ramonet. « I have a dream. », M. Luther King nous pouvons nous demander si le rêve collectif porte-t-il atteinte au rêve individuel ? Dans une première partie nous aborderons le rêve collectif, une illusion collective puis dans une seconde les contraintes individuelles.
I. le rêve collectif, une illusion collective
Le rêve concerne ceux qui ne rêvent pas. Le rêve collectif ne concerne pas tous les Français. Résister au rêve collectif est une forme de pouvoir. L’unanimité suffit à provoquer un rêve collectif même s’il ne regroupe pas l’ensemble d’une population. Le rêve provoque un effet bénéfique sur les Français. Rêver d’un monde meilleur. Rêver d’un monde idéal et juste, sans racisme. Le rêve collectif c’est rêver ensemble d’un monde meilleur. Un rêve collectif provoque une solidarité des Français. Le rêve peut être un acte de solidarité. A travers le discours de M. Luther King, les américains se soudent derrière un rêve collectif. Le rêve collectif provoque une solidarité générale. Le rêve est une volonté de puissance. Un rêve collectif est créé grâce aux promesses du président. Un rêve collectif est créer grâce à M. Luther King (Liberté,