francais
Portraits physique et moral des personnages (+citations du texte)
Mme Raquin
Thérèse Raquin
Camille Raquin
François
(le chat)
Laurent
Michaud
Olivier
Suzanne
Grivet
Capitaine Degans
Elle apparaît comme une vieille dame sans mystère, sans complications « une vieille dame qui souriait en sommeillant. Cette dernière avait environ soixante ans ; son visage gras et placide blanchissait sous les clartés de la lampe » (Ch1). C’était une ancienne mercière de Vernon au tempérament calme « elle mène une vie de recluse ». Elle se contente d’une vie simple et surprotège son fils.
Au début du roman, elle est décrite comme une jeune fille au profil gras, qui a « une santé de fer ». C’est une jeune fille calme qui parle à voie basse et ne dit jamais ce qu’elle pense. C’est une orpheline qui à était adopté par sa tante quand elle était bébé. Elle est fougueuse, il y a une contradiction entre sa nature et son milieu « apparente tranquillité qui va cacher des emportements terribles ». Elle intériorise toutes ses émotions car dès sa plus jeune enfance on l’a condamnée à l'hypocrisie.
Fils de Mme Raquin et cousin de Thérèse, c’est un personnage décrit de manière péjorative : « Il était petit, chétif, d'allure languissante, les cheveux d'un blond fade, la barbe rare, le visage couvert de taches de rousseur, il ressemblait à un enfant malade et gâté » (ch1). Il est destiné à être mariée à Thérèse : « On parlait de cette union, dans la famille, comme d'une chose nécessaire, fatale » (ch2). Sa mère avait convenu de ce mariage dans le but que Thérèse prenne soins de lui (lorsqu’elle-même ne serait plus la pour le faire).
Au premier chapitre, il complète le tableau. Il est présenté comme « un gros chat tigré, accroupi sur un angle du comptoir ». François est une bête paisible et douce, grâce à qui Thérèse peut surmonter de temps à autre la solitude et les longues parties de domino du jeudi soir.
Laurent est le camarade d’enfance de Camille, c’est un