Dans l’œuvre d’art à l’époque de la reproduction technique Walter benjamin tente de saisir l’œuvre d’art comme objet historique à la fois du point de vue du passé, mais aussi comme objet en transformation par la technique alors changeante de reproduction de l’œuvre d’art.

L’importance du changement dans la production et la reproduction de l’art est d’une importance capitale. L’art est l’un des vecteurs principaux par lesquelles une communauté se présente et se représente à et pour elle-même. Pour Benjamin ces processus ne sont pas universelles ni historique. Elles évoluent à la fois par les pratiques et par les techniques développer par les sociétés qui effectuent cette opération. Ses processus changeant, instables n’influent pas seulement sur les moyens de se représenter, mais ils influencent la perception elle. La perception de soi n’est pas affaire d’une « nature humaine », mais fait véritablement partie d’un processus historique qui transforme les subjectivités.
Dans ce processus historique l’aura des objets d’arts leur est arrachée. L’aura est un concept clef dans ce texte. La construction de l’aura de l’œuvre d’art est production purement humaine, mais l’objet le conserve ensuite. L’aura est « l’apparition d’un lointain si proche ». Le rappel à la conscience de l’origine de l’œuvre et de la production. Lorsqu’un objet ancien est dans notre champ de vision nous y voyons plus qu’un simple objet construit humainement, nous y voyons le rappel d’un passé, l’apparition de temps bien terminés, mais présent a notre esprit par le médium de l’objet et de son aura. L’aura n’est pas cependant uniquement réservé aux objets humains il peut appartenir à un objet naturelle aussi. Dans l’extrait Benjamin écrit qu’il est possible de respirer l’aura des montagnes et des branches. L’aura consisté en l’unité de l’objet. Nous percevons l’image immédiate, mais de façon invisible son passé.
L’époque moderne apport un énorme changement dans la production et dans la