Explication texte d'alain (autrui)
Dans ce texte, Alain développe la thèse portant sur autrui, et sur l’influence que nous pouvons avoir sur nos semblables, ou que nous ne pouvons pas avoir sur les forces nous surpassant.
En effet, il affirme que la vision que nous donnons a autrui l’influence, au point même de pouvoir le changer. «Le peuple, méprisé, est bientôt méprisable ; estimez-le, il s'élèvera.»
Or, peut on vraiment assumer l’influence que nous exercons sur les autres ? Celle-ci existe-t-elle vraiment, et comment s’exprime-t-elle concrétement ?
Nous annalyserons donc ce texte en le divisant en 3 partie distinctes:
Du début a «Nigaud», relevant de l’impuissance humaine vis à vis de la croyance.
Ensuite, jusqu’à «elle les aura», relevant de la puissance de la confiance et de la croyance en autrui, ainsi que ses vertus.
Enfin, jusqu’à la fin, relevant des limites et des nuances de la confiance.
Dans les trois premières lignes de son texte, Alain exprime son idée du «vouloir» de l’homme vis à vis des choses naturelles ainsi que sur la croyance. On comprend ainsi que l’homme n’a aucune prise sur ces deux éléments. Car en effet, la religion et les choses naturelles sont inscrites indépendement de l’homme dans notre monde. Nous pourrions même avancé que ce sont ces deux éléments qui influe sur l’Homme, et non le contraire. Car en effet, l’homme ne dispose d’aucun pouvoir de lutter ou de confirmer la religion ou la nature. Le fait que l’Homme ai reussi à dominer cette derniere n’est qu’illusion, puisqu’en effet, «je puis, à force de vouloir, espérer et croire enfin que les choses iront comme je veux ; mais elles vont leur train.»
Nous subissons les outrages du temps, comme nous acceptons l’influence des religions. Car nous ne pouvons nier leurs forces. Ces deux éléments sont pourtant distincts et n’ont en commun le fait d’être supérieur a l’Homme.
Nous comprenons ainsi que la puissance du «vouloir» de l’Homme ne s’applique pas pour tous les