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Point de vue : Oui, « le sauvage » est présenté de la même façon dans les deux textes.
Argument principal 1
À première vue, « le sauvage » est présenté de manière similaire à l’intérieur des deux textes puisque les deux le décrivent comme étant quelqu’un d’inférieur aux Français.
Sous-argument 1.1
Sous-argument 1.2
Dans Dialogues de Monsieur le baron de Lahontan et d’un Sauvage dans l’Amérique, « le sauvage » est décrit comme quelqu’un d’inférieur par ses habitudes rustiques qui n’ont pas de sens.
Dans Voyages en Nouvelle-France, « le sauvage » est aussi présenté comme étant inférieur aux Français. Par contre, c’est par son incapacité à s’exprimer correctement et la facilité par laquelle il se fait amadouer que Jacques Cartier nous le démontre.
Illustration 1.1
Illustration 1.2
« Appelles-tu vivre heureux, d’être obligé de gîter sous une misérable cabane d’écorce, de dormir sur quatre mauvaises couvertures de castor, de ne manger que du rôti et du bouilli, d’être vêtu de peaux, d’aller à la chasse des castors, dans la plus rude saison de l’année ; de faire trois cents lieues à pied dans les bois épais, abattus et inaccessibles »
« Et après qu’il eut fini sa dite harangue, nous lui montrâmes une hache, feignant de la lui bailler pour sa peau. À ceci il acquiesça et peu à peu s’approcha du bord de notre navire, croyant avoir ladite hache. »
Explication 1.1
Explication 1.2
Lors de sa discussion avec « le sauvage » nommé Adario, Lahontan essaie de lui faire réaliser que son mode de vie n’est pas de bonne qualité comparée à celui des riches bourgeois français. Selon lui, la seule manière d’apprécier le mode vie des « sauvages », c’est de n’avoir jamais vu autres manière de vivre de sa vie.
Dans son texte, Cartier décrit toute tentative de communiqué avec « les sauvages » comme étant rempli de non-sens. En utilisant un procédé de comparaison entre les tentatives de communication faites par les Français et ceux faits par