Dans les extraits de La princesse de clèves de mme de la fayette de le chef d'oeuvre inconnu de honoré de balzac, de l'assomoir d Emile Zola, de le temps retrouvé de Proust présent tout 4 un portrait qui prend appui sur le réel et est transposé par celui-ci. Ils ont tous en point commun d'avoir une description détaillé de l'aspect physique de leur personnage. Ces personnages n'ont pas éxisté mais leur Univers, eux, l'ont été,comme par exemple l'histoire de Mme de La Fayette qui se déroule dans la cour d'Henry II. Les changements physiques des personnages font aussi appuiyer sur un effet de réel, c'est ainsi que Goujet obtient "des épaules et des bras sculptés" il est même comparé à un "Bon Dieu" tout cela produit par les efforts qu'il a fourni dans son métier de forgeron, Proust quand à lieu nous présente des personnages "métamorphosées par la vieillesse" .La réalité est tellement présente qu'elle rattrape ces personnages, ils "lutte contre la mort" dans le texte de Proust et celle de Melle de Clèves aussi pour son époque puisque sa mère décide de "la mener à la cour". Des individus célèbres sont ainsi évoqués dans le texte de Balzac, il compare le "petit nez écrasé" de Frnhofer à celui de "Rabelais ou de Socrate" et le compare aussi à une toile de "Rembrandt". L'admiration qu'éprouve les personnages externes envers les portraits décrit nous donne à nous, lecteur, une conception du réel, "une beauté parut à la cour" désigne la princesse de Clèves et Goujet "devenait beau, tout puissant, comme un Bon Dieu". Mais les métaphores et les hyperboles nous élèvent au dela du réel , c'est pourquoi la princesse de Clèves est "une des plus grande héritière de France",et que le métier de Goujet parait si simple pour lui que cela est comparé à de la danse, c'est aussi pour cette raison que Marcel Proust évoque "une ruine" en décrivant le portrait.Le fantastique prend aussi sa place dans les portraits pour que la description de l'autre soit bien perceptible, Proust décrit les