Du bonheur au malheur
Avec l’extrait de la nouvelle <<l’inondation>> d’Émile Zola.
Du bonheur au malheur
Dans l’extrait <<l’inondation>> l’auteur, Émile Zola, fait passer ses personnages du bonheur au malheur. Pour ce faire, il utilise des procédés stylistique comme les personnifications, les métaphores, les comparaisons et autres. Par exemple, au début du texte, Émile Zola utilise la personnification <<La grosse voix de la Garonne ronflait…>> lignes 6-7 pour démontrer le fait que la rivière fait un bruit apaisant et rassurant. Pour démontrer l’ampleur des évènements, l’auteur utilise, par exemple, la gradation car l’eau est premièrement semblable à une bande de loups (ligne 21), puis à meute de bêtes grises (ligne 26) et finalement à un bataillon qui charge (ligne 32).
Aussi, dès le début, Émile Zola met en place une tonalité lyrique et il parvient à faire ressentir le bonheur des personnages aux lecteurs. Ceux-ci passent une soirée tranquille en famille et l’auteur utilise beaucoup les sons et les couleurs pour faire éprouver aux lecteurs la douce beauté du moment. Mais à l’élément déclencheur, la tonalité devient rapidement dramatique car les personnages sont confrontés à une série d’évènements qui se succèdent et le suspense s’enchaine sans laisser aux lecteurs le temps de reprendre leur souffle.
Finalement, l’auteur, Émile Zola, utilise le champ lexical de la terreur pour démontrer que les personnages sont maintenant dans une situation malheureuse, détresse (L. 12), affolés (L. 20), terrifié (L. 21), désespéré (L. 29) et terrible (L. 31), pour ne nommer que ces