Tout d'abord, on assiste à une mise à l'écart de Bérenger de par, premièrement une multitude d'emplois de la première personne du singulier tout au long du texte : « Je voudrais » (L. 6, 13 et 23) ; « Je pourrai » (L. 9) ; « J'aurai du » (L. 20), ainsi qu'avec l'emploi d'adjectifs possessifs comme : « m'en » (L. 7) et « mes » (L. 8 et 10). Au tout debut du texte, la répétition du pronom personnel : « C'est moi, c'est moi ! » (L. 1) donne le ton du texte en marquant la solitude de Bérenger. Cette solitute est amplifiée grâce aux comparaisons : « comme eux » (L. 6 et 16) et « comme la leur » (L. 4) qui marque une opposition entre lui et le reste des habitants qualifié comme « tout le monde » (L. 26 et 28). cette situation se décrit comme pathétique car on y trouve de nombreuses répétitions, des ponctuations fortes et l'expression des sentiments exaltée qui dévalorise Bérenger : « J'ai eu tort ! » (L. 6) ; « comme... azezz z zzzzzzee zr segrghdh rg fh ch g hsdfjk dgn j sgdg g bh wxgfh h h wg h g h huk xdg hk dg hdg hdg dgh hj gfh gfhgh sdghg h sdg hh hu u ughu qsdh shi sd sdu uisdu du d d u d u fhudsh uiq qshuuqs hu shu ui uierur r e hu erhu erse hi qseh qseqqqfhu qerui qruiwf df f H SDSDGXDXDGXG XGFU XG XG XGFHU GYU gyu GUI GUI GUI GU U U U y F hy hfhjjugfj j j uu y tyty t t t tyyu u iu ioh iojh jiosdgjiosdg, jio,gj ifdjnjk ,cfjv,fv cdjk vjdbv ,j bvvfj rgvjb jb vgfbtrgjbbv,j