Etude de cas : le cas loxa
Présentation du contexte
L'entreprise LOXA oeuvre dans le secteur de la métallurgie, elle emploi un millier de salariés. Trois ans auparavant les dirigeants de l'entreprise ont du mettre en place un plan social visant à réduire ses effectifs. Ce premier plan social aurait « traumatisé » ses salariés, puisqu'elle entretenait une culture de fidélisation de son personnel. Néanmoins elle souffre toujours d'une réduction de son activité suite aux modernisations de sa production et envisage une nouvelle baisse de ses effectifs, une centaine d'emplois serait concernés sur le moyen terme.
La société LOXA s'engage dans une démarche de « communication », grâce à une cellule de mobilité. Cette dernière comprend trois personnes chargés de détecter les opportunités d'emplois dans les entreprises de la région, les perspectives de reconversion (incluant des possibilité de formation) ainsi que de déterminer les emplois d'accueil virtuels dans l'entreprise.
Etat des lieux :
Les points positifs :
Une journée d'information sur la nécessité de promotion de la mobilité
Cette journée démarre la campagne de communication, elle informe sur la mobilité ainsi que les missions confiées à la cellule de mobilité.
Création d'un dossier sur les mécanismes de la mobilité, et le rôle de l'encadrement dans la promotion de cette action auprès des salariés
Ce dossier à sans doute apporté plus « concret » sur le thème de la mobilité, consolidant les bases motivant cette campagne.
Rédaction d'un numéro spécial « mobilité » du journal d'entreprise.
Ce journal rappelait la situation économique de l'entreprise, les missions de la cellule de mobilité. L'entreprise rassure ses salariés, précisant que les décisions prises seraient progressives et en concertation sur la base de volontariat. Non seulement la société Loxa se prémunie d'un nouveau « drame » pouvant affecter la production, mais aussi colle à sa culture d'entreprise impliquant le salarié dans les décisions de