1. Comment chaque texte rend-il compte des pensées et des sentiments du prisonnier ? Dans ce corpus de texte on a un champ lexical du désespoir, car dans ces textes les prisonniers expriment leurs sentiments, dans le texte de V.Hugo des la ligne deux il commence par dire "Condamné à mort !" et le texte se fin de la même manière. Alors que dans celui de Stendhal Fabrice del Dongo regrette de ne pas être dehors "C'est donc dans ce monde ravissant que vit Cléclia Conti ! " mais c'est aussi dans ce texte que le prisonnier est aussi bizarrement heureux d'être en prison comme nous le dit la fin de ce roman de la ligne 23 " Mais [...] les douceurs de la prison." Dans le texte de A.Dumas le désespoir s'installe des la première ligne avec "ses prières ferventes" et "son esprits devin sombre", "ce voile sombre" ligne 3, "une éternelle nuit" "Aucune distraction" ligne 9. Pour finir le roman de A.Camus le désespoir se présente sous forme d'une suppression son personnage Meursault arrivé en prison se voit retiré ses cigarettes et il insiste avec le terme "en particulier", tout au long du texte il voudra les récupérer puis vers la fin n'en n'aura plus besoins. Ligne 3 " j'ai demandé qu'on me les rende", ligne 4 "les premiers jours ont été très durs", "Je suçais des morceaux de bois que j'arrachais de la planche de mon lit" ligne 5, "cette punition n'en n'était lus une pour moi" ligne 9. Dans chacun des textes l'auteur utilise un point de vue interne, car nous connaissons les pensées et tous ce qui touche au personnage. Par ce procédé l'auteur donne les sentiments et les pensées des personnages, dans le texte de Victor Hugo le personnage s'exprime à la première personne du singulier "je": "j'habite" ligne 3, "il me semble" ligne 5, " Mon esprit" ligne 7, "je suis captif" "Mon corps" "mon esprit" ligne 14, "qu'on m'adresse" "avec moi" ligne 22, "mon cachot" m'obsède" "mon sommeil" ligne 23.Alors que Stendhal lui choisi de ne pas utilisé "je" il décide de parler à la de