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Nous pouvons donc nous demander si l'essence même des apparences sont trompeuses? Si les apparences sont réellement trompeuses? Si ellessont à l'origine même de cette tromperie?
Afin de répondre à cette question, nous étudierons, dans un premier temps, que nos sens faussent les apparences. Puis, dans un second temps, nous verronsqu'il est possible de sortir de la tromperie de nos sensation. Et enfin, dans un troisième temps, nous nous pencherons sur les apparences comme représentation de la réalité.
La perception seprésente comme l'équivalent de la sensation, comme une manière pour nos sens de se rapporter au monde extérieur. Or notre perception est limitée. Elle ne nous permet pas de distinguer cette réalité dansson intégralité. On peut alors parler de confusion sensible, constituant un obstacle radicale à la connaissance. Il nous est donc impossible de savoir véritablement si ce que nous percevons correspond àla réalité qui ne cesse ne se mouvoir. Ainsi, Platon nous montre que la connaissance et la perception sont de nature différente. Pour lui, la réalité sensible doit être dépassé, dans le