Début dissert' éco
Début 70’s, il y a une reconnaissance des ouvriers et des contraintes internationales qui font que le Tayloro-Fordisme n’est plus aussi efficace qu’il a pu l’être. On note une crise interne, où les ouvriers, plus instruits et mieux formés ne supportent plus les conditions de travail spécifiques du Fordisme et où les compensations monétaires arrivent à leurs limites (se justifient par l’augmentation de la fréquence des grèves). C’est une toute nouvelle société de consommation qui privilégie le plaisir et qui visiblement refuse le Fordisme. On note aussi une crise externe du Fordisme avec un nombre insaisissable de pièces défectueuses (due au désintérêt complet des ouvriers sur la réussite de l’entreprise). De plus, la standardisation n’est qu’insuffisante face à un monde où la concurrence fait qu’on est obligé d’innover.
De fait, les Japonais arrivant sur le marché avec des produits diversifiés et de meilleure qualité se voient devenir un réel dilemme. Ceux-là prenant bien sur des parts de marchés importantes aux Etats-Unis.
Ainsi c’est seulement vers le XIXème siècle que la division du travail a apporté tout ce qu’elle pouvait en terme de gain de productivité et qu’on songe à une organisation du travail plus flexible.
Les 80’s, soit le tournant de la rigueur (lorsque Mitterrand arrête la relance Keynésienne face à la crise de 1983) est donc à la fois la fin du Tayloro-Fordisme et le début des NFOT. Nous pourrons ainsi voir quelles sont les conséquences d’une organisation plus flexible du travail dans les pays développés.
Dans un premier temps, nous pourrons étudier les conséquences positives de celle-ci et dans un deuxième temps, les limites de celle-ci.
Par « organisation du travail plus flexible », nous devons entendre « NFOT + emplois Atypiques ».
Le MEDEF se pose la question de savoir si la flexibilité