doit-on assimiler sujet de droit et etre humain
La notion de droit subjectif implique la considération d’un sujet de droit, ce dernier est alors titulaire de droit subjectifs. Le sujet de droit se définit alors comme une personne qui est le masque de l’acteur. Par ailleurs, le sujet de droit est perçu comme une personne impliquée dans toutes les fonctions qui lui sont propre à travers le droit seulement pour se faire la personne doit être dotée de la personnalité juridique. Il s’agit là de l’aptitude à être non seulement titulaire des droits subjectifs sans pour autant négliger les droits d’autrui. L’être humain est dotée de la personnalité juridique dés lors qu’il né vivant et viable. Par conséquent, les termes sujet de droit et personne apparaissent comme liés. Cependant, il est possible de distinguer les personnes physiques, faites de sang et de chair, des personnes morales qui sont des groupements de personnes. L’être humain n’est autre qu’une personne physique dotée de la personnalité juridique. La loi lui assure la primauté dans l’ordre juridique en interdisant toute atteinte à sa dignité. Pour autant la qualité d’être humain, permettant d’être dotée de la personnalité juridique, ne s’acquiert qu’au commencement de la vie. A travers ce principe l’être humain n’est pas sur le même plan juridique que la chose. Toutefois, les êtres humains ne sont pas les seuls à être considérée comme des sujets de droits. En effet, le droit reconnaît la même aptitude aux personnes morales à la fois distinctes et autonomes.
Pour appréhender l’assimilation entre le sujet de droit et l’être humain il convient de revenir sur la notion de personnalité juridique et son acquisition. Il est donc incontournable d’évoquer la personne morale qui démontre que l’assimilation entre être humain et sujet de droit est possible. A l’inverse l’assimilation ne peut être établit entre sujet de droit et être humain du fait des personne morale dotée de la personnalité juridique.
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