Splendeurs et misères du travail
Alain de Botton
Ce texte traite des sciences humaines. A travers le récit de la journée d’une comptable au siège Européen d’une des plus grandes sociétés mondiale, l’auteur cherche à savoir si l’employé s’épanouit ou pas au bureau.
Brièvement, l’histoire montre qu’il faut simuler les employés et prouve l’importance d’avoir un directeur des ressources humaines actif et participatif.
Cependant, je trouve qu’il véhicule une image négative d’un chef d’entreprise. En effet, l’auteur le critique car il travaille beaucoup sur les résultats chiffrés de la société et non sur l’humain, qu’il n’a plus de personnalité a force de faire des congrès et autres réunion professionnelles, et qu’il voit ses employés comme un chirurgien voit de simples organes. Il finira même par dire qu’il ne sait pas faire de rupture avec le travail et sa personnelle et que la seule façon de relâcher la pression est l’alcool. De plus, lors de sa description du métier de la comptable, il n’émet aucun enthousiasme : il dit que c’est un métier ennuyeux, rébarbatif, pas du tout créatif… De ce fait, pour moi l’auteur n’est pas objectif et prend parti. Il écrit d’ailleurs le texte sur un ton fataliste et fait bons nombres de comparaisons négatives. Pour lui, l’étymologie de mot « travail » renvoi parfaitement à « tripalium » qui est un instrument de torture.
Dans le monde moderne, le travail est nécessaire. En effet, nous en avons besoin afin de pouvoir gagner de l’argent, manger et vivre sereinement, sans compter que le travail apporte un certain épanouissement personnel dans le sens où l’on se sent utile. Néanmoins il faut être conscient que nous travaillons pour vivre et non travailler pour vivre… Le problème est que le travailleur est comparé à un robot : tout est organisé pour qu’il pense « travail ». D’ailleurs certaines entreprises investissent et créer des centre de loisirs au sein même de leur société (salle de gym, massage…) afin de les couper le