Dissertation 1, philo 2
Le silence de la nuit était si beau qu’au lieu de rentrer à la maison, je me suis assise sur la marche de l’entré et je me suis mise à penser. À tous et à rien à la fois. Un peu comme tous ceux qui ne trouvent plus les mots pour décrire leurs douleurs, qui ne trouvent ni de réponses à leurs question ni l’espoir de comprendre le pourquoi de leur douleur. Alors pour me détourner de cette tristesse, j’ai levé les yeux vers le ciel et j’ai été prise par sa beauté. Il était si noir et si lumineux à la fois. J’ai essayé d’abord de le comprendre, d’y trouver un sens, un ordre. Puis, je me suis mise à essayer de l’analyser. Je mettais en parallèle ce que je voyais face aux connaissances que j’avais déjà acquises. Je savais qu’une étoile était un gros soleil situé à des millions d’années-lumière, que ce que je voyais n’était qu’une projection du passé puisqu’elles étaient à des millions d’années-lumière. Alors, comment combiner passé, présent et avenir ensemble, dans un même ciel quand on n’est même pas sûr de ce que l’on croit ? En effet, depuis tout petit on nous bombarde de choses qu’on sauvegarde dans notre mémoire sans se poser trop de questions. Je me demande si tout ce que j’ai appris par le passé, tout le savoir que j’ai pu accumuler durant toutes ces années d'existance était absolument vrai. Alors me vient inévitablement une question à l’esprit. Est-il nécessaire d’être absolument certain de ce que l’on croit savoir, où peut-on s’accommoder d’une incertitude? Autant il y a de façons d’acquérir un savoir, autant il y a de façons qui montrent qu’il y a une incertitude reste à voir si ce savoir est certain. Il donc nécessaire d’être sûr de ce que l’on croit savoir parce qu’on on a besoin d’une certitude sur laquelle on peut se reposer. Une base solide qui pourrait nous faire évoluer. Si on accepte une incertitude, on prend un risque d’expérimenter une chose qui peut être mauvaise pour notre bien-être. Par exemple, Marie