Mes cher confrère nous nous trouvons aujourd'hui dans une phase critique de la misère qui hante nos rue. L'argent la noblesse et le pouvoir forme une visière qui nous cache de la véritable France. C'est dans la promenade qui m'amena jusqu'à vous que j'ai eu cette horrible révélation. J'ai vue un homme dont la classe social ne lui permet pas d'avoir un salaire suffisant pour acheter une miche de pain en fin de mois est ce sa faute. Vous aller me dire qu'il aurait du travailler a l'école. Mais ses décédant n'avait peu être point les moyen de lui offrir une scolarité. Donc est ce la faute de ses ancêtre. Mais faut il toujours trouver un responsable. Les fait sont que ce malheur appelé bouseux par la foule a volé un pain. Donc comme la loi l’exige ce gueux soit emmené à la gendarmerie. Il est accompagner par deux gendarme. Je le regarder avec miséricorde, sont physique était très représentatif de sa misère. Il était affreusement maigre avec des habit ensanglantés et recouvert de boue. De part ses vêtement on pouvez facilement déduire que se pauvre homme dormait à même le sol. Ses pied était était écorcher et recouvert sang. Arriver a la caserne un de ses gardien entra et le bougre dû attendre dehors. C'est a ce moment là qu'une berline composé de 2 chevaux ainsi que 2 laquais attira l'attention du charlatant ce qui attira la mienne. L'homme regarder les personnage qui se trouver a l’intérieure du carrosse il y avait une femme dont la fraîcheur fit toiser le mendiant. Elle jouait avec un enfant ma foi fort charma enfoui sous les rubans les dentelle et les fourrure. Cette femme ne portait aucune attention au misérable et à la foule qui l'entourait. C'est a ce moment que j'ai compris que se gueux était devenue le spectre de la misère. Cette homme a était pour moi le déclencheur d'une catastrophe devenue inévitable celle de la révolution. Je suis outré par ce manque de fraternité qui est l'un des trois piliers de notre mère patrie. Vous vous demander ce type est